"Il n'y a pas eu de renégociations particulières sur les contrats existants", a-t-il dit à des journalistes en marge d'une conférence sur le pétrole.
"Dans nos métiers, contrairement au forage ou à la sismique, qui sont des opérations beaucoup plus ponctuelles (...), quand les achats sont engagés - parfois depuis plusieurs mois -, il n'y a pas de rediscussion à ce stade. Par contre, pour les nouveaux projets, les clients regardent ce qu'on peut faire pour de nouveau passer le niveau du seuil économique", a-t-il ajouté.
Evoquant les tendances de marché de Technip au cours des trois premiers mois de 2009, Thierry Pilenko a déclaré : "Nous continuons à signer des commandes. Evidemment, il y a moins de très grandes commandes, mais il y a toujours un flot important de commandes petites et moyennes."
"Le 1er trimestre 2009 se déroule selon notre programme", a-t-il ajouté.
Technip, comme ses concurrents, doit faire face au recul des prix du pétrole et aux éventuels retards d'investissements de ses grands clients.
Benjamin Mallet,
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