Solenne, une femme dans l'industrie nucléaire

Comme tous les ans à la date du 8 mars nous célébrons la journée internationale consacrée aux droits des femmes. L’occasion pour la centrale de mettre en lumière quelques-unes de ses salariées, comme Solenne Leclaire, ingénieure diplômée de l’école centrale de Lille embauchée dans le groupe EDF en 2009. Elle occupe le poste de consultante facteurs humains depuis septembre 2019 et nous en livre un peu plus sur son parcours. Découverte.

Pourquoi as-tu fais le choix d’une carrière chez EDF ?
" Le groupe EDF, offre un panel de postes aux dimensions aussi bien techniques, que managériales mais aussi organisationnelles et humaines ! La diversité des entités et des emplois au sein du groupe EDF ne nous laisse pas le temps de la lassitude. C’est alors facile de pouvoir se tester en fonction de sa fibre et de passer d’un domaine de compétences à un autre. En plus de ces raisons, je considère que le nucléaire s’apparente à une sorte d’énergie renouvelable, qui n’émet pas de CO2 et qui offre un réel avantage dans le mix énergétique."

Pourquoi as-tu choisi un environnement technique ?
" Initialement j’avais beaucoup de personnes autour de moi qui gravitaient dans les sphères scientifiques et techniques. J’ai toujours été assez curieuse, et je trouvais que la voie scientifique offrait de nombreuses opportunités et pas uniquement dans la technique pure."

As-tu un message à faire passer aux femmes qui hésiteraient à s’engager vers un métier technique ?
" J’espère en toute modestie, que mon témoignage pourra servir d’exemple pour toutes celles qui auraient une appréhension à l’idée d’être enfermée dans une voie purement technique. EDF offre en effet tout un éventail de fonctions dans lesquelles l’Humain a également son rôle à jouer. Je soutiens le fait que les femmes ont toute leur place dans l’industrie qui a  besoin de profils variés… La gente féminine n’est pas en reste et doit prendre confiance en sa capacité à évoluer dans cette sphère ! Nous avons tous au quotidien notre pierre à apporter à l’édifice, femme ou pas, la question n’est pas uniquement liée au genre mais réellement aux compétences et à la motivation de chacun…"