Si l'offre était acceptée par le groupe nucléaire français, Schneider disposerait d'une part de marché de près de 80% en France, estime le quotidien.
La Commission européenne pourrait donc obliger Schneider à céder certaines usines du nouvel ensemble, qui seraient redondantes avec ses propres sites, afin de ramener cette part à un niveau de concurrence acceptable, ajoute-t-il.
Les usines du pôle T&D de Mâcon (730 salariés), du Petit-Quevilly (480), de Fabrègues (180), de Montpellier (200) et de Saint-Soupplets (une cinquantaine) seraient directement menacées.
Schneider rappelle toutefois que le projet de reprise des activités moyenne tension de T&D exclut toute fermeture, cession ou découpage des sites et des activités transverses, poursuit le quotidien. Le groupe s'estime en effet loin de l'hypothèse d'une part de marché dominante mais admet néanmoins des risques concernant quelques dizaines de personnes sur le site de Mâcon.
Florent Le Quintrec
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